Le Niger est confronté à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle et à une persistance des différentes formes de malnutrition qui compromettent la vie des milliers de personnes particulièrement les jeunes enfants et les femmes enceintes et allaitante qui représentent les couches les plus vulnérables.
Selon les résultats de l’enquête nationale nutritionnelle basée sur la méthodologie SMART menée en 2021, la prévalence du retard de croissance est estimée à 43.5%. De même, l’émaciation infantile représente une préoccupation majeure, avec une prévalence de la malnutrition aiguë globale (MAG) de 12,7% Ces prévalences sont supérieures aux seuils critiques de l’OMS.
Le cadre des objectifs de développement durable pour 2016-2030 comporte des priorités stratégiques pour la santé (ODD 3) et la nutrition (ODD 2), et des recommandations non seulement sur l’élimination de la mortalité maternelle et infantile évitable, mais aussi sur la garantie que les enfants s’épanouissent pourtant Cent millions de personnes basculent chaque année sous le seuil de pauvreté pour cause de maladie. La malnutrition est responsable de la moitié de la mortalité infantile et laisse des séquelles à l’âge adulte pour un enfant sur deux. Elle est à la fois cause et conséquence de la pauvreté et du sous-développement.
Afin de briser ce cercle vicieux malnutrition-maladie-pauvreté, l’ONG ADKOUL agit pour lutter contre la malnutrition sur les piliers suivants:
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